Une contrainte bien étudiée permet de trouver à écrire. Tout d’abord il faut se dire qu’elle ne convient pas ou qu’elle convient. En effet pour écrire il faut toujours exagérer ses sensations. Puis on se dit ce qui conviendrait ou non avec cette contrainte. Faire cette réflexion permet de travailler des côtés inexplorés.
Ensuite on commence à écrire et on trouve des idées souvent bizarres pour adapter cette contrainte à sa pensée. En se disant "si..." on adapte ses idées en les confrontant avec la réalité de la contrainte.
Quand la cause semble perdue ou même lorsqu’elle semble acquise, il faut défendre son propos en persuadant grâce à ses qualités, qu’elles soient de paroles ou humaines tout simplement.
Celui qui défend les causes perdues sait convaincre...
Mes notes
Écrire en défendant un voisin détesté...
Un exposé est présenté aux autres. Il n’y a donc pas besoin de savoir écrire mais plutôt de savoir se mettre en valeur.
S’adresser au peuple nécessite de le connaître et de combler ses désirs. Créer un discours nécessite d’être dans l’action et dans l’objectivité permettant à ceux qui écoutent de s’identifier à soi. Les phrases descriptives sont en relation avec les valeurs communes humaines, qui sont la raison, la liberté, la fraternité, la solidarité, l’amour, la peur, etc.
Former quand on ne connaît pas le métier nécessite de l’écoute et de la communication. Il faut savoir ce que demande l’auditeur. Il y a généralement un domaine où l’on a vite évolué alors qu’un autre manque pour répondre à la demande. Aussi un auditeur ne veut pas dire ce qu’il ne sait pas. Donc il faut le mettre en confiance.
Pour former sur beaucoup de thèmes il est intéressant d’apprendre de nouveaux métiers. Ces nouveaux métiers appris servent à étayer ses formations.
Il faut surtout écrire un sketch quand on en a l’envie. Ce sont l’esprit de dérision et la connaissance des autres qui font l’humoriste. La fraîcheur donne de l’enthousiasme. L’humour c’est se comprendre en s’amusant. Si la vie n’était que bonne humeur nous serions plus à l’écoute des autres.
Écrire une romance nécessite de ressentir en soi une émotion qui parle. Est-on porté par la confrontation des idées ou bien par ce qu’on vit chaque jour ? Les deux points de vue sont primordiaux. On favorise en soi l’un plus que l’autre. En sachant cela on peut homogénéiser ses textes.
Un scénario sert à travailler des œuvres d’une autre dimension qu’un simple texte ou poème. Il peut prendre la forme d’un story-board, une bande-dessinée descriptive. Ce peut être aussi un texte ou une chanson, des dessins, un livre à remodeler. Le livre à remodeler est forcément créatif ou bien d’un style peu visité.
Un scénario de roman se construit avec l’imagination et du vécu. Choisir un sujet qui touche crée l’environnement du roman. L’imagination ou le vécu permettent d’intriguer le lecteur avec ce qui semble étrange. On exagère et on caractérise le personnage afin qu’il se rapproche de son imagination.
On crée un personnage en se servant de son expérience personnelle. On comble l’inconnu avec son ego et les autres. C’est pourquoi développer son ego et son humilité avec les autres permet de devenir auteur de roman. Il faut toutefois savoir rester sur la même activité suffisamment longtemps.
Un livre c’est comme une ville. On ne connaît pas chaque phrase et on ne peut intervenir que sur une infime partie. Un livre n’est pas terminé si le lecteur nous le dit.
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