Une contrainte bien étudiée permet de trouver à écrire. Tout d’abord il faut se dire qu’elle ne convient pas ou qu’elle convient. En effet pour écrire il faut toujours exagérer ses sensations. Puis on se dit ce qui conviendrait ou non avec cette contrainte. Faire cette réflexion permet de travailler des côtés inexplorés.
Ensuite on commence à écrire et on trouve des idées souvent bizarres pour adapter cette contrainte à sa pensée. En se disant "si..." on adapte ses idées en les confrontant avec la réalité de la contrainte.
Quand la cause semble perdue ou même lorsqu’elle semble acquise, il faut défendre son propos en persuadant grâce à ses qualités, qu’elles soient de paroles ou humaines tout simplement.
Celui qui défend les causes perdues sait convaincre...
Mes notes
Écrire en défendant un voisin détesté...
Les contraintes ne servent qu’à trouver à écrire.
On peut utiliser ce genre de procédés en groupe ou seul.
Pour écrire un poème il faut avoir du vocabulaire afin de trouver les rimes. Une rime est une fin de mot se prononçant de la même manière à un autre endroit du poème. Les rimes sont à la fin des vers. Elles créent un rythme du poème. Un poème possède le minimum de ponctuation. Le rythme du poème permet de le lire sans ponctuation.
Corriger ou relire un poème permet de savoir l’émotion que le lecteur aime. Nous ressentons beaucoup de choses par le rythme. Le rythme en poésie ce sont les pieds représentés par les syllabes. Un pied est un son de sa voix.
La ballade est moyenâgeuse. Elle se compose de trois couplets et demi, chacun de huit vers de huit pieds.
Créer un atelier c’est animer un groupe de personnes autour d’un thème choisi en exposant ses idées. Il faut savoir comprendre l’auditeur. Or on sait qu’on est le plus accessible aux débutants lorsqu’on apprend. Savoir expliquer est essentiel. Cela s’apprend avec des personnes complètement différentes.
Le slam c’est inventer des poèmes devant les autres.
Pour écrire un éloge il faut d’abord trouver des éléments à la fois objectifs et convaincants à propos de celui pour qui ou ce sur quoi on est élogieux. Ensuite on définit ce qui est plus ou moins élogieux.
Lorsqu’on veut expliquer une idée et que l’on manque d’idées pour que les autres comprennent on peut se rattacher à la nature. Après tout elle nous explique l’essentiel.
La lecture de contes c’est improviser une histoire vivante en fonction du scénario d’un conte. On ne se souvient que de la trame du conte quand on raconte. On ne récite pas mais on invente des émotions ou dialogues.
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